Direction Soleil Levant
Marseille-Irkoutsk-Pékin à vélo, un voyage réalisé par Bernard Olliervendredi 29 février 2008
J-2: ça se prépare...
Nous n'avons jamais été aussi proches du départ. Nous sommes d'ailleurs plus proches à la fin de cette phrase que nous y étions au début. Quelle puissance de l'irréversibilité du temps qui passe!
Trêve de réflexions philosophiques, revenons à notre sujet.
Papa est en vacances depuis ce soir. Dernière journée de bureau, au revoir aux collègues et à dans 6 mois... 6 mois, une demi année. C'est énorme. Tellement que l'on ne se souvient pas de ce que l'on faisait il y a 6 mois et que nous ne savons pas ce que nous ferons à cet intervalle de temps. A moins que l'on ait prévu quelque chose de spécial.
Enfin, pour ce qui est du camp de base marseillais, il se vide au fur et à mesure que les sacoches se remplissent. La tente, le duvet, la popotte, les affaires de réparation ont disparues de la salle de séjour pour rejoindre leur affection pour les 6 prochains mois. Il est évident que tout le monde sera un peu plus à l'étroit. Le volume des sacoches, c'est autre chose que celui de la salle à manger.
Je n'en ai pas parlé avec lui, mais il me semble que Spoutnik est à la fois impatient et inquiet. Impatient de partir pour découvrir de nouvelles routes, de nouveaux horizons et sûrement se faire de nouveaux copains. Inquiet aussi parce que ce sera pour lui son premier voyage. Le plus loin qu'il soit allé jusqu'à présent, c'est Aubagne, à 30 kilomètres de Marseille. Alors évidemment Irkoutsk et Pékin, c'est une autre paire de pneus. Il aurait peut-être été bon de le mettre en relation avec les deux Follis qui sont sagement rangé à leur place. Mais je suis sûr que Spoutnik fera très bien son travail.
Trêve de réflexions philosophiques, revenons à notre sujet.
Papa est en vacances depuis ce soir. Dernière journée de bureau, au revoir aux collègues et à dans 6 mois... 6 mois, une demi année. C'est énorme. Tellement que l'on ne se souvient pas de ce que l'on faisait il y a 6 mois et que nous ne savons pas ce que nous ferons à cet intervalle de temps. A moins que l'on ait prévu quelque chose de spécial.
Enfin, pour ce qui est du camp de base marseillais, il se vide au fur et à mesure que les sacoches se remplissent. La tente, le duvet, la popotte, les affaires de réparation ont disparues de la salle de séjour pour rejoindre leur affection pour les 6 prochains mois. Il est évident que tout le monde sera un peu plus à l'étroit. Le volume des sacoches, c'est autre chose que celui de la salle à manger.
Je n'en ai pas parlé avec lui, mais il me semble que Spoutnik est à la fois impatient et inquiet. Impatient de partir pour découvrir de nouvelles routes, de nouveaux horizons et sûrement se faire de nouveaux copains. Inquiet aussi parce que ce sera pour lui son premier voyage. Le plus loin qu'il soit allé jusqu'à présent, c'est Aubagne, à 30 kilomètres de Marseille. Alors évidemment Irkoutsk et Pékin, c'est une autre paire de pneus. Il aurait peut-être été bon de le mettre en relation avec les deux Follis qui sont sagement rangé à leur place. Mais je suis sûr que Spoutnik fera très bien son travail.
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